Le docking, ou l’emboîtage de zizis

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Le docking est une pratique sexuelle entre hommes, qui consiste à insérer le bout du gland dans le prépuce de son partenaire. Si l’on tient absolument à traduire en français le nom de pratique, cela donne “amarrage”.

En vrai, une bite dans une bite, ça ne rentre pas beaucoup…

En “vrai”, bien que cette pratique soit plaisante pour les deux participants, elle se limite à des “je te touche, tu me touches, par le bout du zizi”. L’un des deux hommes étire un peu son prépuce, pour y insérer le gland de l’autre. Anatomie oblige. Parce que bon, deux pénis, ça ne s’emboîte pas très bien l’un dans l’autre. Exception faite pour les hommes qui se sont fait artificiellement élargir le pénis via des injections salines, comme Mister Mark.

Techniquement, il est possible d’insérer des trucs profondément dans un pénis, par l’urètre. Mais uniquement des objets fins et adaptés a cet usage. Un autre pénis, même plus petit, aucune chance, ça ne peut pas rentrer dans un urètre.

Mais en dessins, tout est possible

Mais lorsqu’il s’agit de dessins, l’imagination n’est plus limitée par les contraintes anatomiques. Les bestioles d’heroic fantasy s’en donnent à cœur joie et s’emboîtent joyeusement, micro-pénis dans pénis géant.

Ainsi va la sexualité des renards, des lions, des loups, des putois, des poneys et des dragons cartoonesques, dans un style qui fait penser aux illustrations de la boutique Bad Dragon.

Un poney et un dragon pratiquant le docking
Un poney et un dragon anthropomorphes pratiquant le docking (source : e621.net)

Ah, et j’en profite pour lancer un appel : ô, toi qui es tombé sur ce blog avec la requête “fétichisme des kangourous” : voilà qui devrait te plaire

D’autres trucs

Deux trouvailles totalement hors-sujet :

  • Les Chocolate Party Hats, des chapeaux en chocolat pour pénis (dont on peut lire le test sur un blog anglophone). Ils existent en version viking, cow-boy et haut-de-forme.

chocolate-party-hats

 

Collectionneuse compulsive de sextoys, testeuse pointilleuse et exhibitionniste débutante.

2 réflexions sur “Le docking, ou l’emboîtage de zizis”

  1. Pour moi le “docking” entre queues, c’est ressentir les chaleurs mutuelles, le soyeux de glands, admirer les glands qui s’embrassent, se frottent, humides, la queue bien raide du partenaire, refoule, repousse le mien soumis, à se retirer dans mon prépuce, le raide, puissant, s’enfouit irrésistiblement dans mon prépuce, le mien bandant mou volontairement pour lui permettre d’être enveloppé assez loin dans ma douceur moite, pour une profonde pénétration dans mon bas ventre en formant une grosse boule. puis jeux émouvants frottages secousses douillettes entre eux.
    Ressentir la raideur, gland gonflé d’excitation, voir et admirer mon prépuce souple, plissé, relâché au début tout d’abord, pour bien envelopper le galbe du gland partenaire. Avec mes doigts j’étire vers son bas ventre toi la peau extensible, bien souple, pendant qu’il s’immisce et glisse délicieusement dans ma peau distendue, se ressentir dans ma chaleur moite, son gland repousse bien à fond, jusqu’à chatouiller entre mes boules, enfoui sur environ 5/7 cm environ, le plus loin.
    Puis douces secousses et frottements délicats prometteurs de plaisir, sensations exquises, divines dans ma moiteur plus abondante, un doux clapotis de bien être en le sentant venir, ses soubresauts gémissements, ses saccades de coulées chaudes qui nous englue de sa semence toute chaude sortie de tes boules, on se sent bien unis ainsi, douceur onctueuse très agréable.
    Il se retire lentement en laissant apparaître une coulée de son sperme, je lèche, lape son gland, puis à mon tour, j’offre mon gros gland gonflé à son prépuce, en refoulant le sien ramolli, je m’enfouis le refoule, en le fécondant de ma semence à mon tour.

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