GC

Passionné de sado-masochisme, j'ai créé il y a 13 ans ma salle-donjon dans laquelle je reçois, à titre de loisir, des slaves curieux(ses) d'une expérience originale et unique ou désireux de séances sado-maso plus fréquentes. Etant donné que ce n'est pas ma profession (j'en ai une qui me prend beaucoup de temps), je ne reçois que 2 à 4 esclaves par semaine (souvent le vendredi soir, parfois le samedi matin). J'améliore régulièrement mes équipements et accessoires (poulie au plafond, espalier, crochets au mur, trapèze suspendu, cagoules, bâillons, collier, ceinture, bracelets de poignets et de chevilles, colliers, cravaches, fouets, martinets, etc. et j'assiste de temps en temps à des séances sado-maso de différents niveaux (du soft au super-hard) pour varier mes pratiques et enrichir mes scénaris. Inutile de préciser que je ne travaille qu'avec des adultes demandeurs (euses) et consentant(e)s. J'ai adopté une tenue de travail sans ambiguïté sur ma personnalité dominante. En été : pantalon et bottes en cuir noir - polo en tissu. Parfois chemise blanche. En hiver le polo tissu est remplacé par un polo en cuir. Gants ou mitaines. Ma réputation est celle de quelqu'un de correct qui tient les promesses engagées. J'ai des rendez-vous pour quelques semaines d'avance, même si je laisse de petits espaces pour les imprévus. Chaque séance (de l'arrivée chez moi au départ) dure deux heures. Le noyau dur est de 30 minutes environ. Je refuse de frapper à même la peau, ni sur les seins, le ventre ou autres parties sensibles. De même avec moi il n'y a pas d'effusion de sang, ni de trous ni de blessures. Mes séances sont axées sur l'esthétique, la mise en valeur du corps, ma manière de l'attacher, les mouvements que mes fouets et cravaches induisent, les cris, hurlements et supplications suite aux frappes. Une réjouissance audio et visuelle, en quelque sorte. Enfin, tout récemment, j'ai commencé un cours de sado-masochisme avec un invité masochiste qui servi d'entraînement. Un deuxième cours a eu lieu avec deux invités, une jeune-femme et un jeune-homme. Le succès a été tout aussi présent, malgré mes difficultés à trouver la jeune-femme. Le 3e cours a eu lieu. La jeune-femme n'a pas pu revenir, alors que ces messieurs demandent surtout des dames. Donc ce furent deux jeunes-hommes. Malgré le prix (la salle, mon travail, le matériel), les places furent prises plus ou moins facilement. Je ne suis pas certain que ce soit uniquement pour initier des parrainés, mais si tout le monde y a trouvé satisfaction, tout va bien. De plus en plus je me dirige vers la pratique et l'initiation en club, ce qui est beaucoup plus riche que en séances individuelles Olivier