Je ne vous pondrai pas une énième critique de Fifty Shades of Grey (ou Cinquante nuances de Grey, cela dépendra de votre goût pour l’anglais), ce bouquin dont la traduction française massacre le titre. Ok, Monsieur Gris, ça aurait été moyennement sexy, comme nom de personnage, il ne manquerait plus que Madame Orange et Monsieur Vert Caca d’Oie se pointent… Mais bon, n’empêche qu’il y avait un jeu de mots, et que celui-ci a disparu.
Que vous l’ayez lu, que vous ayez envie de le lire, ou que vous fuyiez ce livre comme la peste, je n’argumenterai pas là-dessus. Chacun ses goûts, il a plu à certains, déplu à d’autres, mais vous avez probablement croisé suffisamment d’avis (ou de shades of Grey) à ce sujet pour savoir ce qu’il en est. Pour ma part, je n’y ai pas touché, je serais donc assez mal placée pour vous refourguer mon avis.
Les accessoires coquins Fifty Shades of Grey
Bref. Tout ça pour vous dire que les accessoires officiels inspirés du roman sont sortis.
En fait, cela fait un moment que la plupart des sexshops et love shops en ligne suggèrent des accessoires inspirés du bouquin.
Les marques ne sont pas en reste. Bijoux indiscrets a été jusqu’à sortir un kit de “massage” (le mot “massage” est un brin hypocrite, hein, ne ramenez pas ça à votre kiné) intitulé “Fifty Shades of Pleasure”. Même LELO s’y est mis, avec ses Luna Beads Noir, les célèbres boules de geisha de la marque, rééditées presque à l’identique, hormis leur teinte, qui passe mieux dans le cadre de jeux BDSM que le rose bonbon ou le bleu pastel des Luna Beads “traditionnelles”.
Là, il s’agit des goodies “officiels”. Au programme : divers accessoires de bondage, des accessoires de fessée, un anneau vibrant, des boules de geisha, un chapelet anal, quelques vibros, un plug anal, un plumeau et un godemiché en verre sur lequel le nom du livre est gravé.
Jouets BDSM soft de bonne qualité, ou attrape-fans ? Que valent-ils ? Sans les avoir sous la main, je ne saurais le dire… Mais nous pourrons peut-être vérifier cela, tout dépend de ce que le facteur apportera…
PS : ouais, vous pouvez compter, y’a bien cinquante nuances de gris dans l’image.
