Quartier de Soho à Londres - statues partouzeuses

Visite du quartier londonien de Soho… So hot !

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Nous revenons de Londres, où nous avons séjourné dans le quartier de Soho (à ne pas confondre avec son homonyme new-yorkais, ni avec la liqueur de lychee).

Soho, apparemment, jusqu’aux années 80′, c’était un quartier hypra-débauché, avec des sexshops sans licence et tout et tout (ouais, bon, dit comme ça, ça n’a pas l’air très impressionnant). Ensuite, des “purges” policières ont aseptisé le tout, réduisant par la même occasion la taille de la zone consacrée à l’érotisme.

Quartier de Soho à Londres

Le quartier reste malgré tout très animé, avec de nombreux bars, théâtres et concerts, et un certain nombre de boutiques au contenu plutôt sexy : lingerie, tenues BDSM, sextoys (vous remarquerez les petits œufs Tenga en vitrine, sur l’une des photos)… Et des statues partouzeuses.

Je vous laisse regarder quelques photos afin que vous puissiez en juger par vous-mêmes.

Quelques photos du quartier londonien de Soho

 

 

J’ai failli caser la photo d’un fish&chips, mais ça serait un brin hors sujet…

Et si vous êtes aussi naïf(ve) que moi, apprenez que quand y’a écrit “Models downstairs” dans une boutique de vêtements, ça n’a absolument rien à voir avec la couture.

 

Collectionneuse compulsive de sextoys, testeuse pointilleuse et exhibitionniste débutante.

12 réflexions sur “Visite du quartier londonien de Soho… So hot !”

  1. Et non ! Même pas ! Nous en avions aussi entendu parlé depuis un moment, mais nous avions complètement zappé son existence jusqu’à ce que (pour ma part) je voie ton commentaire.. Zut !

  2. Dans un magasin de robes, je pensais que les “modèles”, c’était des trucs pour faire ou exposer des robes.

    Si j’en crois ce que me dit Google : quand l’enseigne désigne des apparts adjacents à des boutiques, il s’agirait de prostituées, travaillant souvent pour des tarifs assez bas. Lorsqu’elle se trouve dans un bâtiment en rapport avec le strip-tease, il s’agirait de dames dont le boulot est – généralement – de se faire payer à boire par le client et d’entretenir avec lui une conversation payante sur la pluie et le beau temps (et ça s’arrête là à moins que le gugusse se montre spécialement friqué et prompt à la dépense).

    Pour Coco de Mer, je suis dégoûtée, on a dû passer juste à côté sans le voir !

  3. Ah, et idem pour les pancartes qui proposent des cours de français, apparemment (les Français ont décidément une drôle de réputation… Enfin, j’imagine que ça dépend du contexe de l’affiche :) ). Cela dit, je n’ai pas vu de telles enseignes.

  4. Miss Ayo Délé

    Que de couvertures pour la prostitution!
    Quand j’étais plus jeune j’ai été choquée par l’énorme quantité de cartes postales d’annonces de prostituées qui tapissaient les cabines téléphoniques. Je n’y ai pas fait attention l’année dernière. Je ne sais pas si ça existe toujours.

  5. Oui, il y en a toujours. Actuellement, ça doit être la seule vraie fonction restante de ces cabines, d’ailleurs…

  6. Miss Ayo Délé

    Oh les salauds. Si ça se trouve ils seront beaucoup plus faciles à écouler que le propriétaire ne l’imagine.

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