La marque RealDoll, que vous connaissez sans doute pour ses poupées sexuelles d’un réalisme à couper le souffle, continue de me fasciner avec ses créations phalliques. Je viens d’avoir la chance de tester le gode RealDoll RC2 Max Premium, l’une de leurs créations phalliques les plus abouties.
En effet, RealDoll vient de sortir une variante plus accessible de la RC2, nommée “Standard”, à un prix plus accessible, et m’a donné l’occasion de tester les deux versions d’un même modèle afin de les comparer.
Certes, la “Standard” est toujours loin d’être discount, mais tout de même moitié moins chère (250 dollars, contre 500 dollars pour la RC2 Premium), et – spoiler alert – malgré son nom, je ne la qualifierais pas de sextoy “standard”. Mais je vous en parlerai en détail dans un prochain article.
Il y a quelque années, j’avais testé les RealCock 2 Dirk et Rockwell (qui ne portaient d’ailleurs pas encore leurs prénoms). Celles-ci trônent toujours parmi mes sextoys favoris, et je m’en sers régulièrement. J’avais donc hâte de découvrir les nouvelles oeuvres érotiques de RealDoll.
Note : “RC2”, abréviation de “RealCock 2”, est le nouveau nom sous lequel la marque désigne ses créations phalliques. Nous avons remarqué quelques légères améliorations depuis notre test précédent, mais il s’agit bel et bien toujours du même produit.
Pour l’heure, focus sur le RealDoll RC2 Max Premium : un gode qui pousse le mimétisme à son paroxysme, avec une texture qui défie l’imagination. J’ai eu la chance de le tester, et disons-le tout de suite : si vous êtes en quête du summum du réalisme phallique, celui-ci pourrait bien devenir votre Graal.
À 500 dollars (comptez environ 500 euros avec les frais de douane), c’est un investissement, mais quel investissement ! Allons-y pour un tour d’horizon détaillé, comme toujours.
Packaging du sextoy
Commençons par le commencement : l’emballage. RealDoll a opté pour une belle boîte en carton épais, qui respire le luxe dès le premier regard.
C’est sobre, élégant, avec une présentation soignée qui met en valeur le produit sans en faire des tonnes. On sent l’attention portée au détail, comme pour annoncer la qualité artisanale qui suit.
Seul petit regret : aucun étui de rangement n’est fourni.
Look de la RealDoll RC2 Max Premium
Le RC2 Max Premium est un pénis imposant, droit et fier, avec un gland bien marqué et une paire de testicules assez petits. Elle mesure 25 centimètres de long au total, dont 19 centimètres insérables, pour un diamètre de 5,5 centimètres. C’est gros, très gros même, mais toujours dans le domaine du crédible anatomiquement; disons, le haut du panier des mensurations naturelles.
La base est plate et large, ce qui lui permet de tenir debout seul, et elle intègre un orifice Vac-U-Lock pour une compatibilité avec des harnais, des fucking machines ou des ventouses adaptées. Pratique pour varier les plaisirs !
Mais ce qui frappe d’emblée, c’est le réalisme des détails. Des veines bleutées qui serpentent de façon naturelle, des dégradés de couleurs subtils du rose du gland à la teinte plus foncée de la hampe, des plis de peau minutieusement reproduits, et même de légères taches de rousseur sur la zone pubienne… Même le gland est sculpté avec une précision chirurgicale, avec un urètre minuscule qui ajoute à l’illusion. Comme le Dirk et le Rockwell, on dirait un vrai, un beau et gros zizi en érection.
A noter que la RealCock est un sextoy moulé et peint à la main aux États-Unis. Derrière les minitieux détails et le soin extrême apporté au teintes, on voit qu’il y a un sacré boulot, ce qui justifie son prix élevé.
La RC2 existe en 5 modèles, chacun pourvu d’un prénom masculin : Jones, Rockwell, Max, Dirk et Bruce. Chaque modèle se décline en 3 coloris : “Fair”, “Medium” et “Dark”; nous avons reçu la teinte “Medium”.
Texture et matériaux
Passons maintenant au cœur du sujet : la texture. Le RC2 Max Premium est entièrement en silicone de qualité médicale, mais pas n’importe lequel.
RealDoll utilise une technologie astucieuse avec plusieurs couches : une structure interne ferme pour maintenir la rigidité, une peau extérieure souple et douce, et une couche liquide intermédiaire qui permet tout le miracle. Résultat ? Une sensation au toucher qui frôle l’incroyable.
Prenez la hampe, par exemple : quand on la saisit, la peau coulisse légèrement sous les doigts, comme sur un vrai pénis. C’est subtil, mais tellement immersif : on peut la pincer, la faire glisser en “masturbant” le sextoy, et ça évoque irrésistiblement la chair vivante. Les veines en relief sont palpables, mais adoucies par cette élasticité organique.
Bien que ce côté “peau qui coulissent” soit bien visible en photos, de simples clichés ne suffisent pas à lui rendre complètement justice. Nous publierons d’ailleurs quelques GIF ou vidéos à l’occasion, afin de vous montrer tout cela plus en détails.
Et les testicules ? Ce sont deux boules individuelles qui flottent dans le silicone liquide à l’intérieur des “bourses”. On peut les malaxer, les presser, les déplacer indépendamment, et on sent leur forme ronde sous la peau plissée, comme des vrais… Enfin euh… Sauf accord préalable, si vous prenez de vrais testicules pour des balle anti-stress de la sorte, leur propriétaire risque de ne pas être ravi.
Comparés aux autres godes RealDoll (égallement des RealCock 2, mais datant d’il y a quelques années) que j’ai testés, cette RC2 Premium Max est encore un bon cran au-dessus. En particulier, le coulissement de la “peau” du jouet est nettement plus marqué. RealDoll a perfectionné sa recette, et le toucher est si proche du réel que ça en devient immersif.
Côté lubrifiants, comme la plupart des sextoys combinant plusieurs densités de silicone, la RC2 n’est compatible qu’avec ceux à base d’eau.
Utilisation du gode RealCock RC2 Max Premium
Venons-en à l’essentiel : comment se comporte-t-il en action ? Avec sa taille généreuse, armez-vous de lubrifiant à base d’eau, sans lésiner sur la quantité, pour une insertion en douceur.
Une fois inséré, la magie opère : la texture fait toute la différence. Cette couche extérieure de silicone, douce, souple et mobile, coulisse légèrement à chaque mouvement, au rythme des va-et-vient.
C’est subtil, mais ça change tout. La hampe glisse avec une fluidité organique qui s’adapte aux contours intérieurs, sans accroc, en épousant les parois vaginales. On sent distinctement le relief des veines qui effleurent et stimulent, pas de façon brute, mais avec une douceur veloutée qui rend chaque passage à la fois présent et enveloppant.
Le gland, bien prononcé, marque son chemin de manière affirmée, tandis que les testicules, si réalistes au toucher, viennent se presser contre la peau à la base, ajoutant une dimension tactile qui renforce l’ensemble.
C’est ferme à l’intérieur, pour une bonne tenue, mais cette enveloppe externe apporte une élasticité vivante, qui rend les sensations d’une authenticité déconcertante. On imagine aisément avoir affaire à un vrai pénis.
Pour l’anal, sa base large et plate assure la sécurité, et la souplesse globale rend l’insertion plus aisée qu’avec un gode rigide. Mais allez-y doucment si vous débutez : il est quand même assez gros.
L’orifice Vac-U-Lock ouvre tout un éventail de possibilités : une utilisation avec un harnais, bien entendu, mais aussi un usage “mains-libres”, grâce à un support à ventouse compatible (la marque RealDoll en vend d’ailleurs dans la section “accessoires” de son site) ou une fucking machine pour des va-et-vient automatisés.
D’ailleurs, Lui m’ayant offert récemment une fucking machine de qualité, j’ai évidemment fixé le RC2 Premium dessus ; et là, l’immersion atteint des sommets, avec ces mouvements mécaniques qui reproduisent une pénétration rythmée et infatigable, rendant l’expérience encore plus vivante et addictive.
Conclusion sur la RealDoll RC2 Max Premium
Le RealDoll RC2 Max Premium est une prouesse de réalisme qui élève le gode à un niveau presque artistique. Sa ressemblance avec un très gros pénis est inouïe, tant visuellement, avec ces veines sinueuses, ces plis subtils et ces dégradés de couleurs, que tactilement, grâce à cette peau coulissante et ces testicules d’un moelleux bluffant.
Fabriqué artisanalement et peint à la main aux États-Unis, il surpasse même les versions d’il y a quelques années de la RealCock 2, comme les exemplaires du Dirk et du Rockwell DTF que j’ai testés, que j’adore toujours autant.
L’orifice Vac-U-Lock permet une multitude combinaisons : harnais pour des jeux partagés, ventouse pour le fixer n’importe où, ou même une fucking machine pour une pénétration mécanique hyper réaliste. C’est immersif, sensuel, et parfait pour explorer des fantasmes en solo ou à deux.
Bien entendu, tout cela a un coût, et pas des moindres : 500 dollars, plus les frais de douane (comptez donc un total de 500 euros à la louche), ce qui le rend inaccessible pour beaucoup; ou en tout cas, un très gros investissement pour un sextoy. C’est son principal défaut : un prix très élevé qui en fait un objet de luxe.
Mais si vous avez les moyens de vous l’offrir sans que votre compte en banque ne fasse triste mine, et que le réalisme est votre quête ultime, n’hésitez pas une seconde. C’est le gode réaliste idéal, un beau et gros zizi qui procure des sensations troublantes de vérité, capable de transformer chaque session en une expérience immersive où la frontière entre objet et chair s’atténue.
Personnellement, il a rejoint mes godes favoris aux côtés du Rockwell et du Dirk, et je sais déjà qu’il va m’accompagner dans bien des aventures.
Note finale du test
Les plus
- Look hyper réaliste, dans les moindres détails
- Texture tout aussi réaliste, avec sa hampe qui coulisse et ses testicules contenant une boule "anti-stress"
- Beau et gros zizi
- Sensations très immersives, c'est le gode réaliste ultime
Les moins
- Prix très élevé
