un reportage Arte sur les sex dolls : Quand les hommes préfèrent le silicone

Un reportage d’Arte sur les sex dolls

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Nous venons de regarder “Quand les hommes préfèrent le silicone”, un reportage d’Arte sur les sex dolls.

un reportage Arte sur les sex dolls : Quand les hommes préfèrent le silicone

Ce reportage nous présente plusieurs personnalités en relation avec le monde des poupées sexuelles en silicone. Et il nous laisse entrevoir leur univers et leur mode de vie. Le tout sans juger, mais toujours avec la question en tête. Pourquoi certains hommes préfèrent-ils le silicone à une femme de chair et d’os ?

L’homme qui vit avec des love dolls

Un homme qui vit seul, en compagnie de ses nombreuses love dolls. Il en emmène de temps en temps une en ballade, le temps d’une séance photo. Ses enfants sont au courant, et ont fini par accepter, tant bien que mal, sa passion peu ordinaire.

La gérante d’un bordel de sex dolls

La gérante d’un bordel de sex dolls, qui nettoie le sperme des clients sur ses poupées, sans réel dégoût. Après tout, elle porte des gants. Et ce n’est pas plus sale que faire la plonge dans un restau.

Un fabricant de poupées sexuelles

Un fabricant allemand de love dolls, qui met en place les yeux des poupées dans leurs orbites. Devant des corps de love dolls sans tête pendus à des crochets, tels des carcasses de viande dans une boucherie, il explique la diversité des anatomies de poupées.

Pourquoi des hommes préfèrent-ils les poupées ?

Il n’y a probablement pas de réponse universelle à cette question. Est-ce la crainte de ne pas satisfaire l’autre ? Or, une poupée ne juge pas. Elle n’a aucune attente, aucun besoin. Elle patiente, immobile, jusqu’au moment où son propriétaire voudra s’occuper d’elle. Et elle comble sa solitude, sans la complexité des rapports humains.

Le reportage est diffusé sur YouTube :

Collectionneuse compulsive de sextoys, testeuse pointilleuse et exhibitionniste débutante.

4 réflexions sur “Un reportage d’Arte sur les sex dolls”

  1. Sujet intéressant.
    A partir de quel moment considère t on un objet comme susceptible d’amour? Demandez à des gosses l’amour qu’il portent à leur nounours…
    Un autre blog avait testé un bord…, heu… service de prêt de sex-doll (?)
    https://www.letagparfait.com/fr/2018/02/19/ma-premiere-fois-avec-une-sex-doll/
    La perception semble loin de celles ressenties avec une humaine.

    D’un autre coté…
    Célibat aidant, difficulté à se mettre en couple, difficulté à trouver quelqu’un qui convienne, ça pourrait être une solution…
    A condition d’y mettre le prix (dans les 5000€ min). Et d’assumer les regards de la société.
    D’un autre coté, à tout prendre, je pense que je préférerais finir ma vie avec une sex-doll plutôt que seul et abandonné. Même si ce n’est qu’un objet, c’est un objet auquel on peut s’attacher.

    1. L’homme aux sex dolls est peut-être une variante du cliché de la vieille célibataire qui vit seule avec ses chats. Mais avec moins de responsabilités et plus de sexe.
      Cela dit, autant (bien entendu) je n’aimerais pas vivre seule avec des sex dolls, autant j’aimerais bien en avoir une, ne serait-ce que pour décorer le salon. Et pour l’alliance beau/creepy. Mais je ne serais pas prête à claquer 5000 balles là dedans.

      1. Lol, ça me rappelle que tu as testé plusieurs gode ceintures mais pas sur monsieur. Une sex-doll serait-elle la solution? :D
        NB: 5000€ et plus, ce sont les prix des “realdoll” qui sont un peu la référence en la matière. Je suppose que l’entrée de gamme est moins chère -vérification faite: dans les 1000€- .
        Remarque, vous pourriez peut-être en louer une pour vos reportages. Ou vous en faire prêter une par un vendeur…

        1. Honnêtement, autant j’aime bien l’objet, autant, en ce qui me concerne, je ne pense pas que je verrais l’intérêt de faire du sexe avec.
          Pour moi, l’intérêt du sexe a deux (ou plus), c’est avant tout l’interaction, l’échange de plaisir et de sensations. Et une sex doll n’en est pas capable. Entre mettre un gode dans une love doll ou le mettre dans un étui, pas sure que ça m’interpellerait davantage…
          Ça, plus le coté “sextoy utilisé par d’autres avant moi = beurk, pas moyen”. Je sais que si l’engin est bien désinfecté, ce n’est que psychologique, mais c’est un blocage dont on ne se défait pas aisément.
          Et on n’a pas de budget blogging suffisant pour se permettre d’investir trop de sous dans un reportage (le Tag Parfait est un vrai journal, avec des locaux, des employés, et tout et tout, nous on blogge juste dans notre coin).

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